ESPRIT LIBRE   n°32

  

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UN NUMERO SPECIAL

Il serait sans doute plus exact de dire que ce N0 32 d'ESPRIT LIBRE est un numéro inhabituel. Il l'est tout d'abord parce qu'il parait avec un retard considérable, ce dont le prie mes lecteurs de m'excuser. J'ai été, en effet, très pris au cours de ces derniers mois. D'abord par l'envoi "massif" du N0 95 du NOUVEL HUMANISME auquel à tort ou à raison, j'attache une certaine importance. Et puis il y avait la réédition de mon livre sur Jésus, 380 pages qu'il fallait relire et par endroits corriger ! Tout cela m'a tellement occupé que je n'ai rien écrit pour remplir nos traditionnelles quatre pages d'ESPRIT LIBRE. Et comme je ne peux jamais écrire sur commande !... J'ai donc fini par me décider à reproduire ici deux textes qui correspondent justement à mes préoccupations du  moment. Le premier est un article qu'un théologien suisse a consacré précisément à mon livre sur "les saintes écritures". Et le seconde une "révélation" fort intéressante de Robert Kehl sur "Dieu le Père", parue récemment dans la revue L'HOMME LIBRE. Afin
d'éviter toute confusion, je tiens à préciser tout de suite que le Père" auquel Jésus faisait allusion correspond pour moi à la notion d'Harmonie, Harmonie qu'il me semble déceler aussi bien dans l'Univers, que dans la Nature terrestre et dans toute Vie. Les relations humaines harmonieuses en sont l'apothéose ! Quant au "diable" c'est tout ce qui perturbe
cette Harmonie. .Ce sont les crimes, la violence, la grossièreté, les insultes, les humiliations, les contraintes, les injustices, les pollutions, les oppressions, les guerres, le terrorisme. Bref, tout ce qui nous répugne .Il est grand temps d'envoyer tout cela...au diable?

Georges Krassovsky


CE QUE JESUS VOULAIT DIRE

par Eric Bovet, licencié en théologie

II est toujours intéressant de constater qu'une découverte importante a été faite simultanément par deux chercheurs indépendants. Tel fut le cas de la reconstitution de la pensée de Jésus, d'une part par un théologien de Suisse romande, et de l'autre par un laïque français d'origine russe. Tous deux m’ont écrit que lors de la parution de leurs ouvrages respectifs, ils n'avaient connaissance ni de l'autre auteur ni de son livre.

L'ouvrage du théologien suisse est si bien connu des lecteurs d'EVOLUER qu'il ne demande pas à leur être présenté à nouveau. Il s'agit d'Exploration de la pensée de Jésus par le pasteur Charles Rittmeyer. Celui du laïque français
aurait dû être intitulé, selon une remarque de l'avant-propos : « Voici ce que, selon moi, Jésus a peut-être voulu dire ». L'auteur a dû se contenter d'un titre plus lapidaire.

M. Krassovsky ne prétend pas avoir fait œuvre d'exégète, ne remonte pas aux textes dans leur langue originale, et accepte d'avance la critique d'avoir fait œuvre subjective; « En écrivant mon ouvrage, dit-il, j'ai voulu surtout donner des
textes évangéliques une interprétation POSSIBLE et qui soit en accord avec ma raison et avec ma conscience. » L'auteur ne retient du Nouveau Testament que les quatre évangiles, plus la  première épître de Jean. Le reste « n'apporte aucun élément nouveau qui permette de mieux  comprendre l'enseignement de Jésus ». Dans les Actes et les Epîtres, les apôtres « ne citent jamais les paroles de Jésus telles qu'elles nous ont été transmises par les quatre évangélistes ; on dirait qu'ils les ignorent ». « Les épîtres de Paul surtout constituent une doctrine qui n'a rien de commun avec
l'enseignement de Jésus ».

Le corps de l'ouvrage de M. Krassovsky est fort bien ordonné en cinq parties dont la lecture est facile et coulante, et. qui d'une façon générale rallie aisément les suffrages du lecteur ouvert d'esprit. La première partie est consacrée a une
explication des termes, employés par Jésus. Le ciel serait l'âme humaine. Le Père qui est aux cieux est donc lé principe ordonnateur qui réside dans l'âme humaine. Ainsi Jésus dépasse les conceptions dualistes. Pour lui. Dieu et
l'homme ne font qu'un : « Moi et le Père nous sommes un ». De là, l'auteur passe à d'autres concepts : le royaume de Dieu (l'atmosphère morale dans laquelle nous vivions), la vie éternelle (connaissance de Dieu en soi), le saint-esprit (inspiration), les anges (pensées), le monde (société dans laquelle nous vivons), le péché (asservissement de l'esprit à la loi).

La deuxième partie trace les grandes lignes de l'enseignement de Jésus. Cet enseignement, présenté d'une façon éparpillée à travers les quatre évangiles, se divise en éléments traditionnels (l'accomplissement de la volonté de Dieu, la solidarité humaine, la paix universelle, la tolérance, le détachement), et en éléments révolutionnaires (l'amour de la vérité, le non-conformisme, le désencombrement mental, la réhabilitation de l'amour, la vie familiale). Ces deux premières parties correspondent à peu près aux deuxième et troisième parties de l'ouvrage de M. Rittmeyer.

« L'amour de la vérité » cadre de très près avec la définition qu'en donne M. Rittmeyer. Quant au « désencombrement mental », l'auteur le considère .comme la partie la plus importante de l'enseignement de Jésus, et qui cependant semble avoir passé absolument inaperçue. C'est une sorte de nettoyage de l'esprit qui se débarrasse de tous les préjugés et croyances qui lui ont été inculqués. Pour Jésus, dit M. Krassovsky, ce désencombrement consistait avant tout dans le
rejet de la religion judaïque. « La réhabilitation de l'amour » est une contribution toute originale, qui surprendra certains, mais qui cadre bien avec le désencombrement mental et l'amour de la vérité. On peut mesurer là la distance qui
sépare l'ascétisme du clergé et des ordres catholiques de l'enseignement de Jésus.

Les troisième et quatrième parties sont consacrées à un examen détaillé des textes évangéliques; pour en relever les passages contradictoires, absurdes, immoraux, bizarres, obscurs, mal enchaînés, intervertis, ajoutés, et en faire certains commentaires. Pour ne citer qu'une des contradictions, et elle est flagrante, Matthieu établit que, par Joseph et sa généalogie, Jésus est descendant de David et d'Abraham ; tout cela pour annoncer quelques lignes plus bas que
Joseph n'était pas le père de Jésus, car « Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph se trouva enceinte par la vertu du Saint-esprit, avant qu'ils eussent habité ensemble ».

Il vaut la peine de relever que, quant au rôle de la prière selon Jésus, l'interprétation de M. Krassovsky correspond tout à fait à celle du pasteur Rittmeyer. La prière telle qu'on la comprend généralement, dit-il, est absolument inutile. Telle que l'entendait Jésus, la prière est avant tout un état de recueillement. C'est une sorte de rendez-vous avec Dieu ; on y vient toujours le premier, on l'attend un peu, sans rien lui demander, et puis il vient et on l'écoute.

La cinquième, partie de l'ouvrage répond au désir, que j'ai depuis bien des années, que quelqu'un s'attelle à la besogne de traduire les évangiles non seulement du grec en langue moderne, mais encore du langage préscientifique ; en concepts du vingtième siècle. M. Krassovsky a pris la peine de faire ce travail, et on ne peut s'empêcher de reconnaître que d'une façon générale le résultat est heureux. D'une part, l'« Evangile selon Jésus », comme il appelle cette reconstitution, est en fait une sorte d'Harmonie des Evangiles où l'on a mis de l'ordre ; de l'autre, le cadre dans lequel sont enchâssées les paroles de Jésus est mis d'accord avec celles-ci. Le portrait qui se dégage de cette restauration est à la fois acceptable à la raison et attachant au cœur.

L'exégète qui ferait une analyse serrée de cette synthèse y trouverait probablement bien des points sujets à caution. Par exemple, les textes, ayant trait à la naissance et à la résurrection de Jésus sont reconnus par la théologie orthodoxe, depuis deux ou trois générations déjà, comme non historiques, comme des passages ajoutés par la suite et sans lien avec les faits réels. Il n'y a donc pas lieu d'expliquer comment Jésus a bien pu ressusciter des morts. Le pasteur Rittmeyer a montré qu'aucune des paroles mises dans la bouche de Jésus après son arrestation n'a de contenu. On n'y reconnaît nullement le message de Jésus tel qu'il l'a exprimé de son vivant.

L'explication donnée par M. Krassovsky des miracles et des guérisons, pour tentante qu'elle soit, ne correspond pas exactement à l'interprétation qu'en donne M. Rittmeyer. Par exemple, la multiplication des pains, selon l'auteur de "Ce
que Jésus voulait dire",
est une exhibition de générosité de la part de la foule émue par l'enseignement sincère et vrai de Jésus. Pour l'apôtre de l'Exploration de la pensée de Jésus, il s'agit d'une matérialisation de concepts abstraits, sans
rapport aucun avec l'assouvissement de la faim des foules ; la multiplication des pains serait une parabole de plus, mal comprise de ceux qui nous l'ont relatée.

Avec la modestie qui sied à un laïque, M. Georges Krassovsky nous présente un essai de rétablissement des faits tel qu'il satisfait à sa raison et à son cœur. Nous lui savons gré d'avoir eu le courage, la simplicité et la finesse d'esprit
nécessaires pour mener à bien une tâche aussi vaste et aussi délicate, où ont échoué les plus grands esprits de toute l'ère chrétienne. Il a réhabilité l'homme qui, bien que si mal compris, a eu sur le développement de la civilisation humaine l'emprise la plus profonde et la plus durable. Puisse le message de Jésus, après restitution de son sens véritable, libérer l'esprit de l'homme moderne comme il a libéré les Juifs du premier siècle. Et puisse cet enseignement, en nous rappelant de nourrir notre esprit à sa source divine, produire en nous des fruits d'une valeur éternelle.

 

 

APPEL A CEUX QUI SE RÉCLAMENT DU CHRIST!

S'il est un point sur lequel les religions s'accordent, c'est bien celui concernant Dieu! Ce Dieu créateur qu'elles
prétendent, toutes représenter: les Juifs sous le nom de Yahweh, la Chrétienté sous le nom de Père, les Musulmans
sous le nom d'Allah, dans leurs ouvrages respectifs : l'Ancien Testament et le Coran. Pourtant, lorsque le Christ parla de
Dieu à ses apôtres et à ses disciples, il employa TOUJOURS le terme de Père, disant: « Mon Père » faisant prier ainsi ses disciples : "Notre Père qui est dans les Cieux..."

Jamais il n'employa le terme de Yahweh ni de Jéhovah ! N'est-ce pas curieux ? N'est-il pas curieux également que Jésus nous présenta son Père comme infiniment bon, parlant de pardon et de miséricorde, parlant d'amour envers les autres
hommes alors que le Dieu des Juifs dans l'Ancien Testament apparaît connue un Dieu vindicatif, cruel, n'hésitant pas à
massacrer ses propres enfants Juifs, les poussant même à des génocides pour s'emparer de la Terre Promise (  ... )
Franchement, peut-on dire, peut-on croire que Yahweh soit le même Dieu que Jésus nous présenta comme "son Père" ?
Impossible! N'est-ce pas dès qu'on réfléchit un instant ! Et pourtant c'est ce que TOUTES les religions de la Chrétienté
enseignent d'une même voix, c'est sur cette IMPOSSIBILITÉ qu'elles sont TOUTES  d’accord ! Entièrement d'accord ! Il y a même des chrétiens qui vont plus loin. Ce sont ceux qui se nomment eux-mêmes : Témoins de Jéhovah.

Pourtant si on examine le Nouveau Testament, on y trouve des propos du Christ qui auraient dû éveiller leur attention !
C'est ainsi que dans JEAN 8 :17 que dit Jésus parlant a des Juifs: 'Il est écrit, dans VOTRE LOI que... "Ainsi donc Jésus considère qu'il y a 2 lois: celle des Juifs, donc celle de Yahweh et celle de Son Père : 2 lois différentes ! C'est clair!

Plus loin, Jean 8;42, Jésus précise: " Si Dieu était votre Père, vous m’aimeriez...." ce qui signifie que Dieu (son Père)
n'est pas le Dieu des Juifs !

Et il complète en précisant, afin que nous l'apprenions et que nous en tenions compte: "Jean 8,44 : "Vous avez pour
Père le DIABLE ! Jésus se serait-il amusé à insulter sou Père ? Certainement pas ! Ainsi donc Yahweh ou Jéhovah est le Diable lui-même! Il n'est pas le Dieu et Père que Jésus nous présenta!

(Ce texte est extrait de 1 'article de Robert Kehl, paru dans le N° 178 de l'excellente revue 1'HOMME -LIBRE, B.P. 42005 Saint-Etienne Cedex 1. L'analyse de M. Kehl est irréfutable et va tout à fait dans le sens de ma propre recherche du véritable enseignement de Jésus}.                .

AU BON ENTENDEUR SALUT !

- Pour se faire une idée de la valeur morale de Jéhovah, il suffit de consulter "la Sainte Bible" : voici ce qu'il recommande aux envahisseurs juifs qui s'apprêtent à investir une cité : "Lorsque tu t'approcheras d'une ville pour la combattre, tu lui proposeras la paix. Si elle l'accepte et t'ouvre ses portes, tout le peuple qui s'y trouve te devra la corvée et le travail. Mais si elle refuse la paix et te livre combat, tu l'assiégeras. Jéhovah ton Dieu la livrera en ton pouvoir, et tu en passeras tous les mâles au fil de l'épée. Toutefois les femmes, les enfants, le bétail, tout ce qui se trouve dans la ville, toutes ses dépouilles, tu les prendras comme butin. Tu mangeras les dépouilles de tes ennemis que Jéhovah ton Dieu t'aura livrés."
( Deutéronome, chapitre 20, versets 10-14 ). Qu'est-ce sinon un génocide et une invitation au cannibalisme ? - Rappelons qu'auparavant le même "Dieu" noya toute l'humanité dans un déluge, sauf la famille de Noé qui fut épargnée, ainsi que les couples d'animaux qui trouvèrent refuge dans l'arche. Et dire qu' il y a des croyants qui se prosternent devant ce sinistre personnage qui n'est heureusement qu'imaginaire l                   .

- Appeler Dieu "Seigneur" c'est se dégrader au niveau d'esclave. Or, si Dieu existe, ce n'est pas sûr du tout que cette obséquiosité lui plaise.

- En remplaçant la notion de "Dieu" par celle d' "Harmonie" on change de genre. Le masculin devient féminin, le Père devient la Mère l Une transfiguration heureuse l Un monde dans lequel sévit la violence a tellement besoin de la douceur féminine î

-
On sait que le mot "religion" vient du verbe latin "religare" qui signifie "relier" . C'est donc le lien affectueux qui relie les êtres humains les uns aux autres et notamment les hommes et les femmes, les parents et les enfants. Chez toute personne saine d'esprit ce sentiment de bienveillance s'étend à l'humanité entière et il n'y a pas d'efforts à faire pour l’éprouver.
 C'est naturel !

 

- Le sentiment religieux n'a rien à voir avec les religions organisées avec leurs dogmes, leurs rituels et leur clergé. Ses Eglises (avec un E majuscule) sont très diverses mais ont néanmoins quelques traits communs :

- 1  Chacune- affirme qu'en dehors d'elle il n'y a point de salut !
- 2) Elles font toutes du prosélytisme. C'est leur raison d'être
- 3) La notion du péché est une constante base de toutes les prédications, de tous les sermons. Sous prétexte de "sauver les âmes" les prêtres, les pasteurs, les popes, les rabbins et les muftis parviennent à culpabiliser les croyants et à les maintenir ainsi sous leur domination. Une démonstration de l'éternel jeu des dominants et des dominés. Jeu désolant et qui persistera tant qu'il y aura des hommes qui se laisseront manipuler par une minorité des dominants.

- Le processus de culpabilisation est vieux comme le monde. Il consiste tout d'abord à persuader les croyants que la nature humaine est foncièrement mauvaise et qu'il faut la combattre, se repentir, changer. Ensuite on condamne toutes les manifestations d'égoïsme et c'est là l'astuce : étant donné que tout le monde a un côté égoïste, chacun peut se sentir concerné, se sentir coupable. Ce qui est d'autant plus injustifié que l'égoïsme, tant décrié, n'empêche pas le respect d'autrui, la délicatesse, la générosité. L'opposition de l'égoïsme et de l'altruisme est une calamité psychologique.
Chez toute personne normale les deux coexistent, sont complémentaires. C'est un gage d'équilibre, de l'Harmonie.

-- Savez-vous que signifie le joli mot "la parousie" ? - C'est le second avènement du Christ, son retour. Les Chrétiens l'attendent depuis deux millénaires ! La plupart ne se rendent sans doute pas compte que Jésus est revenu déjà moult fois et continuera à revenir. On aurait toutefois tort de l'attendre dans les cités ou à la campagne. C'est dans les coeurs qu'il revient ! La compassion envers les êtres humains et envers les animaux en est un signe qui ne trompe pas ! Tout le reste n'est que phantasmes etdivagations!                                                        
 

Georges Krassovsky

journees mondiales vegetariennes

Du 1er au 7 octobre 2004

Organisées par Alliance Végétarienne, ces journées se veulent une
occasion de réfléchir aux conséquences néfastes de l'alimentation à
dominante carnée sur l'environnement, l'équilibre alimentaire mondial et
les rapports Nord-Sud. De nombreux événements sont programmés :

dégustations, concours de cuisine, banquets, buffets, débats, points
d'information et seront indiqués dès fin août sur le site de l'association :

www.allianceveg.org.

Une brochure menu recettes mise au point par le Service Nutrition de l'institut Pasteur
de Lille est proposée gratuitement. Pour se la procurer, écrire à : Alliance Végétarienne -11 bis,
rue Gallier - 77390 - Chaumes-en-Brie ou envoyer un courriel à : contact@allianceveg.org

Etant donné mon âge je n'ose plus prendre d'abonnements annuels à ESPRIT LIBRE. Les lecteurs qui apprécient ce dernier et qui voudraient recevoir éventuellement le prochain numéro, sont priés d'envoyer à ESPRIT LIBRE, B.P. 164, 75664 PARIS CEDEX 14, une enveloppe affranchie portant leurs nom et adresse. La participation à mes frais d'impression s'élève à 0,40 €. l'exemplaire (A3 recto-verso). Vous pouvez, vous en acquitter en m'adressant un timbre à 0,50 €. - Quant au livre CE QUE JESUS VOULAIT DIRE, son prix est de 25 €. Il est envoyé franco contre un chèque libellé au nom d'ESPRIT LIBRE, CCP : La Source 40 847 - 45F.
Votre avis au sujet de ce bouquin me sera précieux.

 

Mise à jour le 16 sept 2004